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Microbes Virus Bactéries Microbiose Symbiose dysbiose Lien avec notre cycle et les saisons

Le pléomorphisme est aujourd’hui encore jugé en grande partie avec scepticisme ou parfois tout simplement rejeté. Cependant, vous êtes-vous déjà demandé pourquoi E. coli dans l‘intestin est un germe symbiotique bienvenu, alors qu’il provoque une affection très douloureuse dans la vessie ?

La médecine moderne part du principe qu’aucun microbe ne vit dans notre corps, à l‘exception des muqueuses, de la peau et de l‘intestin, et que si le processus fonctionne correctement, ils sont éliminés par notre système immunitaire. Parallèlement, nous savons aussi que le placenta contient déjà des germes1-3. De plus, il a été reconnu que le lait maternel est enrichi de plusieurs germes différents4,5. Comment cela fonctionne-t-il? Une femme enceinte ou allaitante disposerait- elle d’un déficit immunitaire si important qu’il permettrait à ces germes de se propager?

La science moderne apporte de nombreuses révélations dans le domaine de l’épigénétique. L’épigénétique qui décrit en effet les modifications de l’expression de nos gènes. Le patrimoine génétique forme la base et ne représente généralement qu’une infime partie de l’activité génétique en cours. Cette activité génétique a une forte influence sur la fonction, mais aussi sur l’apparence cellulaire – et pourquoi pas aussi sur le comportement des agents pathogènes?

Il est également reconnu que l’apparence des gènes peut se modifier, de même que leur forme, surtout lorsque le corps se retrouve dans un état de stress. Ce processus a été documenté sur la Borrelia burgdorferi6, Mycobacterium tuberculosis7, et Escherichia coli8,9.

Le concept d’Enderlein, qui atteste que des bactéries sans paroi cellulaire peuvent agir de manière camouflée en devenant un agent pathogène potentiel, a aussi été confirmé. Il est reconnu que certaines bactéries peuvent se débarrasser de leur paroi cellulaire dans le but de se masquer du système immunitaire10. Dès lors, il s’agit bien de changements identiques à ceux émis à l’époque par le Dr Enderlein.

Même si à l’heure actuelle nous ne pouvons pas documenter le postulat du Dr Enderlein par le biais de données scientifiques modernes, des tendances orientées dans la même direction se dessinent. Il sera par conséquent intéressant de suivre l’évolution de l’isopathie, qui a fait ses preuves depuis des dizaines d’années dans la pratique.


La vie dans la nature est sans cesse déterminée par des cycles qui se répètent, composés de processus de construction et de déconstruction, qui s’interchangent et dépendent les uns des autres. Les perturbations d’un système influencent donc inévitablement les autres systèmes et peuvent entraîner des changements durables.

Les cycles de la nature: les bases fondamentales de toute vie Le cycle de croissance d'une plante repose sur différents facteurs: eau, nutriments et soleil. Des perturbations, dues à un excès de soleil et de chaleur par exemple, font flétrir la plante, mais elles modifient également la composition des bactéries dans le sol qui représentent une source importante de nutriments pour la plante. Des mesures de régulation (apport d'eau) peuvent à nouveau favoriser la normalisation du cycle.


  • Tous les cycles sont en échange constant et entièrement dépendants les uns des autres

  • Les différents stades de développement au sein des cycles assument des fonctions spécifiques en lien avec l’écosystème.

  • Les cycles et leurs fonctions peuvent être perturbés par des facteurs externes (chaleur) ou internes (évolution du milieu).

  • Les cycles perturbés peuvent, dans une certaine mesure, se réguler pour préserver leur capacité à fonction ou à se rétablir.

  • Les micro-organismes (champignons et bactéries) qui se trouvent dans le sol occupent un rôle central dans l’écosystème.

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