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TROUBLES DIGESTIFS Intestin irritable, SIBO, candidose, constipation & diarrhées, RGO...

Reprenez le contrôle sur vos troubles digestifs naturellement !


La première raison est évidente : le contenu de notre assiette permet denourrir nos cellules. Sans écosystème digestif fonctionnel, la digestion etl’absorption des nutriments est compromise et leur utilisation optimale parl’ensemble de nos cellules impossible. Des cellules mal nourries causent desdysfonctionnements au niveau de l’ensemble des systèmes de notre corps :digestif bien sûr, mais aussi hormonal, nerveux, immunitaire, rénal, cardio-vasculaire, etc.

Le second argument tient aux rôles extra-digestifs de l’appareil digestif. Onaura l'occasion d'y revenir mais le système digestif a des impacts directs sur lessphères immunitaires, hormonales et nerveuses.


En réalité, on peut dire sans exagérer que la sphère digestive est le point dedépart de nombreuses pathologies digestives, bien sûr, mais également extra-digestives : autisme, diabètes, maladies cardio-vasculaires, dépressions, maladiesauto-immunes (sclérose en plaques, diabète de type II, maladie de Hashimoto,lupus, etc), allergies et même cancers.


Les troubles digestifs sont variés : ballonnements, RGO, gaz, transit, douleurs dedos, etc, inconfort

On peut classer les troubles digestifs en deux catégories distinctes :

Ces troubles traduisent une ou plusieurs lésions au niveau de certains organesdigestifs. On retrouvera dans cette catégorie les troubles digestifs liés auxpathologies inflammatoires de l'intestin (MICI) comme la maladie de Crohn, larectocolite hémorragique (RCH) ou les troubles digestifs.

On retrouvera dans cette seconde catégorie les troubles digestifs isolés ou ceuxqui traduisent certaines pathologies : SIBO, IMO, candidose, intolérancesalimentaires, gastroparésie, etc.


Le syndrome de l’intestin irritable (SII) est une pathologie fonctionnelle quiaffecte entre 5 et 10% de la population mondiale.

Il est fréquent d’entendre que l’hygiène de vie semble constituer la cause

principale, presque unique, des troubles digestifs fonctionnels. Il est vrai aussi que

l’hygiène de vie s’est considérablement modifiée, pour ne pas dire dégradée

depuis plusieurs décennies.

L’hygiène nutritionnelle se dégrade avec une consommation plus importante de

nourriture de type “fast food” et une consommation trop faible de fibres

alimentaires

La sédentarité a elle aussi augmenté corrélativement au temps passé

quotidiennement devant les écrans

L’explosion des troubles digestifs fonctionnels suit celle d’une hygiène de vie

dégradée. Faut-il y voir une coïncidence ou une causalité ? L’examen des causes

des troubles digestifs va nous permettre d’y voir un peu plus clair !


Les étapes clés de la digestion

L’odeur et la vue des aliments permettent au cerveaud’envoyer des messages à tous les organes digestifspour se préparer à la digestion : c’est la phasecéphalique. La preuve, vous salivez déjà !

Les aliments pénètrent dans la bouche et vous lesmastiquez. Vos dents découpent mécaniquement lesaliments et votre salive, qui contient une enzyme(l’amylase salivaire), prédigère chimiquement les sucres.

Après avoir traversé l’oesophage, le bolalimentaire gagne l’estomac. Celui-ci produitplusieurs substances, dont l’acidechlorhydrique et le pepsinogène quicommencent la digestion des protéines.

Le foie va produire des acides biliaires Les aliments se retrouvent sous la formede nutriments qui doivent être absorbés par la paroiintestinale pour servir de carburant au corps.

Le pancréas, de son côté, produit l’essentiel desenzymes digestives pour digérer les protéines, lesgraisses et les glucides.

Une fois produits, les acides biliaires et les enzymespancréatiques vont rejoindre l’intestin grêle pourêtre mélangés aux aliments.

Le côlon absorbe les derniers nutriments présents et formeles matières fécales. C’est également lors de cette étapeque, les bactéries formant le microbiote, vont “fermenter”ou “putréfier” certains composés alimentaires non digérés.


Au regard du rôle “quasimicronutritionnel” de l’acide chlrohydrique, ledéficit en sécrétion acide gastrique peut aussi induire des carences (B12, fer,calcium).

MAIS JE CROYAIS QUE LES REMONTÉES ACIDES ÉTAIENT CAUSÉES PAR UNEXCÈS D’ACIDITÉ GASTRIQUE


Ça ne vous semble pas logique ? C’est normal ! En réalité, même si l’excèsd’acidité, appelée hyperchlorhydrie est susceptible de causer du reflux gastro-oesophagien, ce dernier est le plus souvent causé

par une diminution de l’acidité gastrique ! En fait,la production d’acide permet de fermer lesphincter oesophagien inférieur (SIO), qui séparel’estomac - dont la muqueuse est faite pouraccueillir cette acidité - de l’oesophage, trèssensible à l’acide chlorhydrique.

En cas d’hypochlorydrie, le SIO reste ouvertlaissant passer le peu d’acide chlorhydrique versl’oesophage causant brûlures et ce petit goûtacide bien désagréable !


Test est souvent utilisé pour déterminer l’acidité de l’estomac : le testau bicarbonate de sodium.

L’idée principale est d’ingérer du bicarbonate de sodium à jeun pour que cedernier réagisse avec l’acidité gastrique et crée un gaz : le dioxyde de carbone.Celui-ci va alors s’échapper sous la forme d’une éructation, en gros un rot !


A jeun, mélangez 1/4 de cuillère à café de bicarbonate de sodium alimentairedans un verre d’eau.

Mode d’emploi

Boire le mélange et lancer un chrono dès que le verre est terminé.

S’il y a un rot dans les 2 minutes, la production d’acide est normale ;

S’il y a un rot entre 2 et 5 minutes, l’hypochlorhydrie est jugée légère ;

S’il y a un rot entre 5 et 10 minutes, l’hypochlorhydrie est jugée modérée ;

Au-delà de 10 minutes, l’hypochlorhydrie est jugée sévère


Il ne faut cependant pas considérer le test au bicarbonate de sodium commeinfaillible puisque l’absence d’éructation peut également s’expliquer par la “fuite”du dioxyde de carbone, dans l’autre sens, au niveau intestinal. Dit plussimplement (et même très simplement), le gaz créé ne s’évacuera pas par un rotmais par un pet !


L’hypochlorhydrie est susceptible d’entraîner des troubles digestifs fonctionnels,notamment un SIBO, des infections gastriques, notamment à helicobacter pyloriet les conséquences qui y sont associées (gastrites voire ulcères).


L’hypochlorhydrie peut être induite par plusieurs causes :

Il ne faut cependant pas considérer le test au bicarbonate de sodium commeinfaillible puisque l’absence d’éructation peut également s’expliquer par la “fuite”du dioxyde de carbone, dans l’autre sens, au niveau intestinal. Dit plussimplement (et même très simplement), le gaz créé ne s’évacuera pas par un rotmais par un pet ! C’est la raison pour laquelle l’absence d’éructation ne peuts’apparenter avec certitude à une hypochlorhydrie.

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Une rupture de l’axe intestin - cerveau.

L’hypothyroïdie ou la thyroïdite de Hashimoto, pathologiesthyroïdiennes qui influencent à la baisse la production de gastrine, unehormone stimulant la production d’acide chlorhydrique.

La prise de médicaments à long terme, particulièrement les inhibiteursde la pompe à protons

(mopral, inexium, pantomed, lanzor) souventprescrits dans le cadre de remontées acides pour bloquer la productiond’acide gastrique.

Une infection à Helicobacter pylori, une bactérie productriced’ammoniac, un gaz inhibant l’acidité du milieu dans lequel il se trouve

Un régime alimentaire pauvre en protéines. Les protéines permettent eneffet de stimuler la production de gastrine et donc d’acidechlorhydrique.

La maladie de Biermer, gastrite atrophique auto-immune provoquant ladestruction des cellules pariétales de l’estomac et une incapacité àproduire de l’acide chlorhydrique


Et quelles sont les solutions face à l’hypochlorhydrie ?


La consommation d’aliments (roquette, endives, artichauts) ouplantes au goût amer (gentiane, absinthe) est susceptible de stimulerl’acidité produite au niveau gastrique. Plusieurs hypothèses sontavancées pour expliquer cet effet stimulant : la plus probable exprimeune stimulation locale de récepteurs au goût amer appelés bitter tastereceptors (BTR) qui viennent déclencher des réponses chimio-sensorielles au niveau digestif améliorant les sécrétions digestives dontfait partie l’acide chlorhydrique.

De ce point de vue, la prise d’élixir du suédois, macérat de plantesamères, semble constituer une première piste intéressante.

Elixir du suédois

herbolistique

Dosage : 1 bouchon dilué dans un verre d’eau avant chaquerepas

Bétaïne HCL

pure encapsulations -amritanutrition.com

Dosage : prendre 1 comprimé à chaquerepas et, le second jour prendre 2comprimés à chaque repas, le troisième 3comprimés à chaque repas, ainsi de suitejusqu’a sensation de picotements, brûluresou incoforts. en cas de picotements,brûlutres ou incoforts : diminuer laposologie d’une capsule et vous avez alorstrouvé votre dosage !

Précautions d’emploi & contre indications :

- A ne pas utiliser en cas d’ulcère gastrique

La bétaïne HCL ne doit pas être décapsulée ni croquée ;

- Prenez la bétaïne HCL pendant un repas suffisamment copieux etcontenant des protéines.


L’insuffisance pancréatique exocrine se définit comme « une altération de laproduction d’enzymes digestives pancréatiques et/ ou de leur utilisation dans leprocessus de dégradation des macronutriments apportés par l’alimentation ».

En plus d’une maldigestion et des symptômes qui l’accompagnent(ballonnements, douleurs abdominales, satiété précoce, stéatorrhée (sellescollantes, flottantes et souvent pâles), incontinence fécale), l’insuffisancepancréatique exocrine augmente fortement le risque de carences nutritionnelleset de tous les dérèglements qui y sont associés


La santé de la muqueuse intestinale, tout simplement car lacholécystokinine est produite au niveau du duodénum. Une atrophiede la muqueuse duodénale, que l’on rencontre souvent dans pas malde pathologies intestinales (maladie coeliaque, maladie de Crohn,intestin irritable, etc) régule donc à la baisse la production decholécystokinine et la sécrétion enzymatique.

De troubles pancréatiques préexistants (pancréatite chronique,mucoviscidose, diabètes, chirurgie pancréatique) qui, abaissant lafonction pancréatique globale, impactent la production enzymatique.

Il faut noter enfin que la prise de certains médicaments analogues de lasomatostatine (sandostatine, somatuline) – une hormone dont le rôleest notamment d’inhiber la sécrétion de suc pancréatique – sont denature à impacter la production enzymatique pancréatique à la baisse.

Une rupture de l’axe intestin-cerveau


La prise en charge naturopathique de l’insuffisance pancréatique exocrine reposecomme toujours sur l’orientation du consultant vers la médecine générale, sur lagestion des causes et sur l’administration d’enzymes digestives


Enzymes digestives végétales

Masszymes - Bioptimizers

Dosage : 1 à 3 gélules pendant chaque repas en fonction dessymptômes


L’insuffisance enzymatique ne touche cependant pas que le pancréas. L’intestin,lui aussi, peut ne pas produire voire plus du tout certaines enzymes, notamment lelactose.


“L’intolérance au lactose est le plus souvent le résultatd’un déficit enzymatique. Dans la majorité des cas, elles’explique par la disparition, à l’âge adulte, d’uneenzyme appelée « lactase » qui sert à dégrader etdigérer le lactose”.


Oui car les intolérances alimentaires peuvent aussi être causéespar une agression des muqueuses et notamment des sites deproduction ou de relargage des enzymes. Dans le cas de lalactase par exemple, produite principalement au niveau dusecond segment de l’intestin grêle, une agression de lamuqueuse empêche la production enzymatique”.


Pire encore, l’agression des muqueuses et plus généralement l’hyperperméabilitéintestinale

permet le passage de macromoléculesalimentaires dans la circulation sanguine qui finissent par interagir avec dessubstances du système immunitaire, les anticorps de type IgG ,

suscitant dessymptômes digestifs voire extra-digestifs


TOUS LES PRODUITS LAITIERS NE CONTIENNENT PAS DE LACTOSE

AVEC LACTOSE

Lait animal de vache, chèvre, brebis -crème fraîche - glaces - fromage frais,fromages à pâte molle de type ricotta,mascarpone, cottage - fêta - roquefort- fromage blanc - préparations àbase de lait

- pâtisseries, biscuits, etc

SANS LACTOSE

Lait végétal de soja, noisettes, amandesetc - lait sans lactose/matin léger -fromage à pâte dure de type comté,emmental, gruyère, reblochon, raclette- camembert (faible teneur en lactose


Les troubles biliaires

En plus de ses rôles de stockage (acides aminés, vitamines liposolubles,glycogène), de synthèse (vitamine K, cholestérol, facteurs de coagulation), et dedétoxification (xénobiotiques, hormones, endotoxines), le foie produit la bile.

Libérés dans l’intestin grêle via le canal cholédoque et le sphincter d’Oddi, les

acides biliaires facilitent la digestion et l’absorption des graisses et vitamines

liposolubles (vitamine, A, D, E, K).


De manière générale, une carence en acides biliaires est susceptible desaturer la bile de cholestérol provoquant des lithiases biliaires, une

stéatorrhée (selles collantes, flottantes et souvent pâles) et une perturbationde la digestion et de l’absorption des lipides.

A l’inverse, un excès d’acides biliaires est susceptible d’entraîner des diarrhéeset un effet entérotoxique (notamment en cas d’excès d’acides biliairessecondaires) causant une agression de la muqueuse digestive


Une carence d’acides biliaires primaires s’explique par une carenceen cholestérol, fer, vitamine B3;

Un excès d’acides biliaires primaires indique une inflammationdigestive avec dséquilibre du microbiote.

Une carence d’acides biliaires conjugués s’explique par une carenceen glycine ou taurine;

Un excès d’acides biliaires conjugués indique une inflammationdigestive avec dséquilibre du microbiote.

Une carence d’acides biliaires secondaires s’explique par une carenceen acides biliaires primaires et/ou conjugués ou un déficit debactéries - lactobacillus & bacteroides))- convertissant les acidesbiliaires primaires et/ou conjugués en acides biliaires secondaires;

Un excès d’acides biliaires secondaires indique soit une proliférationbactérienne des bactéries convertissant les acides biliaires primaireset/ou conjugués en acides biliaires secondaires - ce qui correspondsouvent à un SIBO - soit une augmentation de l’activité de cesbactéries via un transit ralenti


La prise en charge prioritaire des troubles hépato-biliaires reposera sur les causesprécitées, notamment :

La correction d’éventuelles carences précitées (cholestérol, fer, vitamine B3,glycine, taurine) ou d’excès de cholestérol;

La régulation du transit intestinal;

La prise en charge de la dysbiose éventuelle ainsi que des causes précitées

Au-delà de ces rappels, certains actifs permettent d’optimiser la production etl’écoulement du flux biliaire :

Plantes cholérétiques :augmentant la productionde la bile : artichaut,pissenlit, romarin

Plantes cholagogues :facilitant l’évacuation de labile vers les intestins :chardon-marie, pissenlit,romarin

Vascularisation par lechaud pour stimulerl’activité hépatique grâce àla bouillotte sur le foieaprès les repas


La muqueuse digestive est la couche superficielle de la paroi du tube digestif. Enplus de son rôle sécrétoire et d’absorption des nutriments, comme on a pu le voirprécédemment, la muqueuse digestive agit comme barrière séparant le milieuextérieur du milieu intérieur et protège ainsi l’organisme contre de potentielsagresseurs pathogènes.

Les troubles de la muqueuse digestive emportent donc des conséquencesnéfastes importantes sur la santé digestive.


Le mucus est composé de glycoprotéines appelées « mucines ». Les mucines

permettent formation d’un gel et d’une une barrière physique contre les bactéries

ou autres toxiques, empêchant ainsi tout contact direct avec la muqueuse

gastrique.

En cas de déficit de production de mucus, la fonction barrière n’est plus assurée,

et la muqueuse digestive se détériore. Résultat : la muqueuse a des difficultés à

remplir ses rôles sécrétoires et d’absorption. La digestion et l’absorption des

nutriments ne sont plus optimales et tous les symptômes digestifs communs

peuvent survenir : ballonnements, gaz, troubles du transit, flatulences, douleurs

abdominales, etc.

Pire encore, puisqu’au niveau de l’estomac, une atteinte de la muqueuse

digestive, notamment par baisse de production de mucus, peut engendrer des

infections comme celle à Helicobacter Pylori.

Helicobacter pylori est responsable d’une grande majorité de gastrites et

d’ulcères gastriques, des pathologies inflammatoires de la muqueuse de

l’estomac.


Certains actifs et réflexes d’hygiène de vie permettent d’optimiser la productionde mucus au niveau digestif :

Une consommation importante de fibres alimentaires semble favoriser laproduction de butyrate et in fine de mucines, notamment l’inuline(légumineuses, chou, ail, oignon, asperge, poireau, céréales complètes) etles pectines (pommes, poires).

La S-méthyméthionine (SMM), aussi appelée vitamine U, que l’on retrouve

en quantité importante dans le jus de chou cru, a prouvé avoir des effets au niveau de la régénération de la muqueuse gastrique.

Au niveau génétique, la consommation de 2'-fucosyllactose peut pallier àun gène non sécréteur sur FUT2.

Le zinc L-carnosine a montré une activité anti-inflammatoire grâce à unelibération locale de zinc au niveau de la muqueuse.

Le gel d’aloe vera agit à la fois comme cicatrisant mais aussi commestimulant de la production de mucus.

Le sulfate de chondroïtine ainsi que la glucosamine , deux constituants

que l’on retrouve notamment dans les bouillons d’os de poulet ou depoissons, sont des composants de la mucine intestinale.

Prebiolife - 2'fucosyllactose

nutrixeal

Dosage : 2 dosettes par jour

Arthropure

Glucosamine + chondroïtine

nutripure

Dosage : 4 gélules par jour

Zinc carnosine

Seeking Health - amrita nutrition

Dosage : 1 gélule par jour

pendant 3 mois

Aloepure - gel d’aloe vera

Energetica natura

dosage : 1 bouchon à jeun matin etsoir pendant 3 mois


Lorsque ce réseau jonctionnel dysfonctionne et que les jonctionsserrées s’écartent, la paroi intestinale devient poreuse. On parle dans ce casd’hyperperméabilité intestinale ou de leaky gut.

Comment je sais si j’ai un intestin hyperperméable ?


Globalement, un faisceau d’indices est suffisant pour se douter de la présenced’un “leaky gut” : intolérances et/ou allergies associées à des troubles digestifs.Toutefois, certaines analyses permettent d’objectiver la porosité intestinale: c’estle cas de la zonuline sanguine.

La zonuline est une protéine impliquée dans l’écartement des jonctions serrées.Une augmentation de sa valeur est donc directement corrélée à uneaugmentation de la perméabilité intestinale.


L’hyperperméabilité intestinale s’origine souvent d’une dysbiose associée à uneinflammation de bas grade.

Carences nutritionnellesindispensables aurenouvellement entérocytaireet à un réseau jonctionnelopérationnel

: glutamine,collagène, vitamine A,vitamine D, zinc, omega 3

Agents toxiques : certainsmédicaments(antibiotiques, AINS),alcool, tabac, polluants

Stress chronique,psychologique ou physique(sport à haut niveaunotamment)

Agents infectieux(bactéries, virus,moisissures) et leurstoxines


La prise encharge micronutritionnelle reposera ainsi sur :

Le réseau jonctionnel & le leaky gut

Une revue systématique de plus de 39 études semble toutefois indiquer une

corrélation entre consommation de caséine type A1, transit ralenti et marqueursinflammatoires augmentés contrairement à la caséine de type A2


Les solutions

Acides aminés : glutamine,collagène, citrulline

Vitamines A & D

Minéraux & co : zinc, omega 3,resvératrol


Voici deux synergies intéressantes pour reconstruire la barrière épithéliale et leréseau de jonctions serrées :

permaroyal

Laboratoire La ROYALE

Dosage : 2 sachets par jour a jeun pendant 2 mois

Permearegul+

copmed

Dosage : 1 sachet par jour a jeun pendant 2 mois


La diarrhée

Saccharomyces Boulardii

sunday natural

Dosage : 1 gélule après le repas du midi et du soirpendant 1 mois

Poudre de psyllium blond

sunday natural

Dosage : 1 cuillère à café à jeun, à mélanger dans ungrand verre d’eau


La prise de fibres solubles peut avoir un impact positif sur les symptômes dediarrhée en ralentissant notamment le transit intestinal. C’est la raison pourlaquelle la prise de mucilage comme le psyllium ou les pectines, généralementrecommandés dans le cadre de la constipation, peut aussi être efficace en cas dediarrhée. Pour cette raison, une alimentation riche en fruits et légumes (et donc enfibres solubles) peut aider à diminuer les diarrhées


La constipation

pensez à suffisamment boire ! Le fait de s’hydrater pzrmet deramollir les selles.

Bougez ! L’activité physiuque et le mouvement stimulentmécaniquement le transit.

Mangez des fibres ! Les fibres, notamment insolubles, que l’onretrouve principalement dans la peau des fruits et légumes, deslégumineuses ou dans les céréales complètes permettent de fairegonfler les aliments dans l’intestin, ce qui facilite leur excrétion..

La prise de deux kiwis le

matin est efficace dans le cadre de laconstipation chronique, car

ce fruit contient en effet de l’actinidine,une enzyme stimulant le péristaltisme intestinal.

La prise de café augmente la production de gastrine et decholecystokinine, deux hormones impliquées dans la stimulation du

transit intestinal.

Les prébiotiques, notamment le psyllium blond, sont égalementefficaces (voir pages précédentes pour le produit conseillé).

En cas de constipation importante et après échec des solutionsprécédentes, il est possible d’utiliser certaines plantes comme leséné ou la bourdaine qui agissent sur la motricité intestinale via desmécanismes nerveux.

Il est impératif d’utiliser ces plantes sur de courtes durées (unesemaine maximum) car ces plantes rendent dépendant le systèmenerveux de leur utilisation.



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